Windsor – Les Chevaliers de Colomb tenteront de vendre 1600 pains du Vendredi saint sur les territoires de Windsor, de Saint-Claude et de Saint-François-Xavier-de-Brompton.

« Comme toujours, nous nous attendons à ce que les gens soient généreux. L’an dernier, nous avons vendu 1500 pains », souligne Marc Morin, ex-Grand Chevalier et coresponsable de la vente des pains du Vendredi saint. 

Plusieurs points de service seront alors installés dans la région pour que les gens puissent aller chercher leur pain. 

Ainsi, à Windsor, les gens pourront se rendre au Provigo de la rue Saint-Georges et dans le stationnement des Chevaliers de Colomb. Ces deux points de vente seront fonctionnels de 9 h à 16 h, les 7 et 8 avril. 

Par ailleurs, à Saint-Claude, les citoyens pourront se rendre le 7 avril entre 9 h et 12 h dans le stationnement de l’hôtel de ville ou à l’entrée du lac Boissonneault. 

Finalement, à Saint-François-Xavier-de-Brompton, les gens seront invités à se rendre dans le parc de stationnement de la caserne le 7 avril, de 9 h à midi.

Ailleurs, on parle du pain partagé. Ici, c’est le pain du Vendredi saint. En fait, c’est que l’organisation de Windsor s’est dissociée de Caritas Estrie, responsable du pain partagé. 

« En 2020, lors de la pandémie, il n’y a pas eu de pain partagé. Nous nous sommes alors dit qu’il y en aurait quand même sur les territoires de Windsor, de Saint-Claude et de Saint-François-Xavier-de-Brompton. Nous avons donc réajusté notre tir. Nous avons décidé de continuer de la même façon après la pandémie », raconte M. Morin. 

Comme l’an dernier, le prix suggéré est de 5 $ la miche de pain.

Pour les personnes ne pouvant se déplacer les jours de vente, un service de livraison sera en opération. Il s’agit de téléphoner au local des Chevaliers de Colomb : 819 845-2686. 

« L’argent amassé servira à aider des familles pendant le temps des Fêtes. L’an dernier, pas moins de 70 d’entre elles avaient pu bénéficier de cette activité. C’est vraiment pour une bonne cause. Nous souhaitons ainsi soutenir nos familles défavorisées. Avec l’inflation, nous vivons dans une période particulièrement difficile. Le coût de la vie est très élevé. Les gens ont besoin d’aide », termine l’ex-Grand-Chevalier.