Kingsey Falls — La seconde édition de Fripe de filles se tiendra au Parc Marie-Victorin du 21 au 23 septembre. S’inscrivant dans une visée écoresponsable, l’activité permet aux filles de la région de donner une deuxième vie aux vêtements et aux accessoires qu’elles ne portent plus, tout en faisant quelques dollars en contrepartie.
À la suite du succès connu l’an dernier, le Parc Marie-Victorin et Cascades font à nouveau équipe pour organiser cette seconde édition. Fripe de filles c’est aussi l’occasion pour les acheteuses de renouveler leur garde-robe ou de faire l’acquisition de nouveaux morceaux à petits prix.
«Selon les statistiques, on porterait 30% de notre garde-robe 80% du temps. Fripe de filles c’est donc le moment tout indiqué de faire le ménage des placards et de se départir de ce qui n’est plus porté ou pas assez souvent», précise Marie-Eve Chapdelaine, Conseillère en développement durable chez Cascades.
À noter que pour chaque morceau vendu, 75% du montant sera remis aux vendeuses, alors que 25% seront offerts sous forme de don à la Fondation du Parc Marie-Victorin. En plus d’avoir une visée environnementale en favorisant le seconde main, Fripe de filles agit sur la sphère économique en permettant aux familles d’économiser une partie de cette dépense. Fripe de filles se déroulera de 18h à 21h le jeudi 21 et le vendredi 22 septembre et le samedi 23 septembre de 10h à 16h. L’entrée est gratuite le jeudi et vendredi, et il en coûtera 5$ le samedi avec le code promo «Fripe de filles» à la billetterie. Sur place, il y aura un bar et restaurant, des cabines d’essayage, des miroirs, de l’éclairage, des chauffe-terrasse. Pour informations, visitez la page Facebook de l’événement ou communiquez avec Charles Boisvert à evenement@parcmarievictorin.com
«L’an dernier, j’ai vendu plein de trucs, mais j’en ai aussi acheté plein. Je suis presqu’arrivé à coût nul. Et je n’ai pratiquement rien acheté comme vêtements depuis. En fait, depuis l’an dernier, je me suis fixé l’objectif personnel de ne rien acheter de neuf ou presque et c’est fou l’argent qu’on sauve!», conclut Mme Chapdelaine.