Valcourt- Peuvent-elles être la solution tant recherchée pour améliorer la qualité de l’eau rejetée par les usines municipales d’épuration des eaux usées ? Nuvac Éco-Science en est convaincue.
Nuvac Éco-Sciences inc. possède une expertise approfondie dans le domaine du traitement des eaux usées de plus de deux décennies dans l’utilisation de solutions de bactéries et d’enzymes.
« Nous travaillons avec plusieurs municipalités au Québec où nous avons réussi à améliorer leur système de traitement des eaux usées » affirme M. Demers, Président.
Notre approche repose sur l’utilisation de bactéries et d’enzymes naturelles. Les traitements favorisent la durabilité environnementale en réduisant l’utilisation de produits chimiques agressifs tout en favorisant les processus biologiques naturels.
Selon M. Demers, ces traitements permettent de réduire les charges de principaux indicateurs de pollution et décomposent les structures nuisibles d’environ soixante contaminants chimiques, dont des produits pharmaceutiques et des pesticides que les installations de traitement actuelles ne parviennent pas à éliminer efficacement, affirme-t-il.
Les solutions technologiques proposées par Nuvac Éco-Science inc. se démarquent nettement des autres interventions disponibles sur le marché. Elles permettent notamment de réduire les délais de traitement, de décontamination, voire même les coûts liés à l’élimination des boues usées.
Les années de recherches et développements, avec l’Université de Sherbrooke et sous la supervision du Dr Hubert Cabana Ph. D. ing., prouve qu’une bioapproche intégrée pour le traitement et la valorisation des biosolides et des eaux usées municipales est une solution gagnante.
En réduisant ces contaminants chimiques, M. Cabana explique que les boues usées acquièrent une plus-value. Elles peuvent être utilisées comme fertilisants agricoles, offrant ainsi un double avantage, car les municipalités, en valorisant leurs boues, économisent sur les coûts d’enfouissement. « C’est un aspect économique intéressant pour les municipalités », souligne le chercheur.
Texte par Bruno Demers