Windsor (RC) – Au nombre des projets et réalisations que la Ville de Windsor met de l’avant durant la présente année, le Camping et parc Watopeka est l’objet d’une nouvelle phase de développement et d’agrandissement qui est retenue pour les prochaines années.

« Il y a présentement de l’argent disponible dans le domaine du tourisme et, par la même occasion, la possibilité d’accroître le potentiel de l’espace de notre camping et parc situés à proximité de la rivière Watopeka et du Centre J.A. Lemay, considère la mairesse de Windsor, Sylvie Bureau. Dans ce contexte, nous sommes en lien avec la députée de Richmond, Karine Vallières, afin d’identifier les sources de subventions pouvant aider à concrétiser nos projets. »

De nouveaux atouts

Au nombre des atouts potentiels, les tentes-roulottes et petits chalets ont la cote en ce moment, pouvant ainsi se greffer aux motorisés et aux emplacements de camping. Aux agrandissements proposés, les rives de la Watopeka et les sentiers panoramiques avoisinants au Parc historique de la Poudrière pourraient être mis en valeur.

Rappelons qu’en 2010, un citoyen de Windsor, Gilles Plourde, avait exprimé au conseil de ville le souhait qu’un camping pour motorisés soit aménagé en bordure de l’ancienne plage Watopeka. Appuyant la demande de M. Plourde, la Ville avait installé les prises électriques, l’accès à l’eau potable (toilettes et douches à l’intérieur de l’aréna) et une vidange. À ces travaux s’ajoutait la reconstruction d’un muret faisant face à une portion d’arbres et de bosquets où des tables à pique-nique avaient été installées. Cette phase initiale fut inaugurée en juillet de cette même année pour un investissement d’environ 50 000 $.

« M. Plourde a fait réaliser à quel point l’endroit s’avère intéressant, surtout en rapport avec la proximité des services et des commerces. L’endroit donne accès directement à la piste cyclable et à un espace vert; il est à proximité du parc récréatif, de la Poudrière, du terrain de tennis, de la piscine municipale, d’un marché d’alimentation, d’une cantine sans oublier tous les restaurants, commerces et établissements des rues Saint-Georges et Principale », notait alors Mme Bureau.