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Soyez vu et reconnu

Le journal l’Étincelle est un hebdomadaire

distribué à plus de 10 650 exemplaires.

193, rue St-Georges, Windsor (QC) J1S 1J7

• Tél. : 819 845-2705 • Téléc. : 819 845-5520

• Courriel :

[email protected]

PrésidenT : Claude Frenette

direCTriCe : Chantal Darveau

réCePTionnisTe : Geneviève Gray

Conseillères PubliCiTaires :

• Chantal darveau • dominique samson-desrochers

JournalisTes : Ralph Côté

GraPHisTes : • Monia laramée • erica Charest

nancy Ménard

Courrier 2

e

Classe - enreGisTreMenT n

o

3398, déPôT

léGal biblioTHèque naTionale du québeC.

... grâce à

l’Étincelle

Le coin du

lecteur

La direction du journal n’accepte que les articles signés et sans pseudonyme.

Généalogie

Beaux Dimanches en famille

par Jacques Blaquière

coin des chevaliers

filles d’Isabelle

FLUOR : N’EN RAJOUTEZ

PAS, LA COUPE EST PLEINE!

Lors de la conférence publique tenue à

Richmond le mercredi 1er octobre, les

représentants de la Direction de la Santé

Publique (DSP) ont réitéré leur confiance

en la sécurité et l’efficacité de la fluoration

de l’eau. Ils ont dit n’avoir aucune preuve

que la fluoration à 0,7ppm cause quelque

dommage que ce soit à la santé. Pourtant,

dans leur présentation, ils ont admis

que les sources de fluor autres que l’eau

sont nombreuses (alimentation, produits

d’hygiène dentaire, etc.).

Nous savons que la fluorose dentaire est

un défaut de maturation de l’émail se

produisant lorsqu’un enfant est exposé à

trop de fluor dans la période où ses dents

sont en formation. Cette anomalie est le

premier signe d’intoxication générale

de l’individu par une surexposition aux

fluorures. La fluorose est fréquemment

rencontrée au Québec dans les municipalités

où l’eau n’est même pas fluorée. Il me

semble qu’une preuve supplémentaire de

dommages sur la santé n’est pas nécessaire,

la preuve est là, évidente! On est déjà trop

souvent surexposé!

Les représentants de la DSP ont préféré

attaquer le messager plutôt que le

message en qualifiant les opposants de

« marginaux ». Ils auraient avantage à

faire leur autocritique. Par exemple, ils ont

présenté à nouveau les données de dépistage

de carie dentaire comme démonstration

des bénéfices de la fluoration à Richmond,

alors qu’ils avaient reconnu ce printemps

qu’il y a plusieurs autres facteurs pouvant

expliquer cette baisse de carie.

Rappelons la faiblesse de leur hypothèse

puisque près de 40 % des enfants de l’école

du Plein-Cœur n’habitent pas à Richmond

et qu’ils n’ont pratiquement bu aucune

eau fluorée avant leur entrée à l’école.

Sans oublier qu’aucune comparaison avec

les enfants des municipalités voisines

ne semble avoir été faite (à moins que la

comparaison ne donne pas les résultats

attendus). Pourquoi refusent-ils de voir

que l’amélioration de la santé dentaire des

jeunes de l’école du Plein-Cœur pourrait

avoir une explication toute simple?

L’arrivée à Richmond d’un nouveau

dentiste, peu de temps avant la fluoration,

a permis aux citoyens d’avoir un bien

meilleur accès aux soins dentaires, un

important facteur dans l’état de la santé

d’une population. On peut ajouter que des

modifications des habitudes alimentaires

ont aussi été instituées dans les écoles.

Pour être crédibles lorsqu’ils accusent les

opposants de ne pas être scientifiques, les

représentants de la DSP devraient d’abord

faire preuve d’une rigueur exemplaire.

Quand l’interprétation des données

présente de telles failles méthodologiques,

les conclusions sur l’efficacité de la

fluoration à Richmond ne peuvent

qu’être scientifiquement invalidées. Je

dois cependant leur donner raison sur un

point : je n’ai pas suivi les mêmes cours de

statistiques qu’eux!

Dre Eve-Marie Arcand DMD, dentiste à

Sherbrooke et citoyenne du Canton de

Melbourne.

L’ANCÊTRE GROLEAU DE

ROXANNE, 11 ANS

Notre ancêtre Pierre Groleau (1642-1707),

fils de Jean Groleau et de Perrine Merlié,

de Cholet en Anjou (Maine-et-Loire), est

arrivé à Québec le 25 mai 1664 à l’âge de

22 ans. Il était dit domestique, engagé de

Nicolas Juchereau.

L’emploi de domestique à l’époque

équivaudrait aujourd’hui à ce qu’on nomme

un journalier, un homme à tout faire. Un

contrat d’engagement que nous n’avons

pas trouvé signifie que Pierre Groleau

devait servir son employeur au moins trois

ans avant d’être libéré de son contrat. Ce

contrat de travail lui payait son passage

en Nouvelle-France, l’hébergement et la

nourriture pour trois ans et un passage de

retour.

Nicolas Juchereau était un marchand

de fourrures prospère qui était impliqué

dans plusieurs sphères de l’économie

en Nouvelle-France. Il s’est illustré en

plusieurs endroits entre Québec et Saint-

Denis-de-la-Bouteillerie entre 1641 et 1692

dans le Bas-Saint-Laurent. Il était d’ailleurs

surnommé Sieur de Saint-Denis.

Le 24 novembre 1678, Pierre Groleau,

38 ans, est maintenant en âge de s’établir

et il ne retournera pas en France. Il signe

à L’Ange-Gardien un contrat de mariage

devant le notaire Claude Auber et épouse

Geneviève Laberge, 15 ans, le 10 janvier

1679 à la Visitation de l’Ange-Gardien. Il

semble que cette union ne fut consommée

que quatre ans plus tard alors que Geneviève

Laberge, 19 ans, donne naissance à son aîné

François, le 5 décembre 1683 aux Écureuils

(Deschambault) lequel décède le 19 suivant.

Puis ce n’est que le 8 juin 1686 à Neuville

que Geneviève Laberge donne naissance à

un deuxième enfant, Jean-Baptiste Groleau,

lequel aura une nombreuse descendance

Groleau au Québec ainsi que son frère

cadet, Pierre, né le 26 mai 1692.

On peut encore toucher les pierres de

la maison ancestrale construite pour

Geneviève Laberge vers 1715, au 200

Chemin du Roy à Deschambault où se

trouve aujourd’hui la « Maison de la Veuve-

Groleau », Geneviève Laberge.

Vous voulez que je raconte une petite

histoire sur un de vos ancêtres québécois,

envoyez-moi votre nom, votre âge et les

noms de vos quatre grands-parents.

Pour des suggestions ou pour s’inscrire

aux Beaux dimanches en familles : Club

de généalogie informatisée de Richmond

([email protected]

)

• Bon anniversaire à Mme Hermance

Nadeau.

• Nos sincères condoléances à

Mme Lucienne Noël pour le décès de son

gendre, M. Richer Lagacé.

• N’oubliez pas la réunion du 13 octobre

au local des Chevaliers de Colomb, à 19 h.

Nous vous attendons en grand nombre. Pour

celles qui auraient besoin d’un transport,

communiquez la régente au 819 845-3250.

• Nous aurons une réunion des régentes le 18

octobre à Lac-Mégantic. Les régentes, vice-

régentes, ex-régentes ainsi que la chancelière

seront présentes.

• Nous acceptons les tricots offerts à notre

cercle pour les paniers de Noël.

• Vous pouvez toujours me faire parvenir

des nouvelles que je pourrai partager avec

nos lecteurs et lectrices; pour me rejoindre :

Jocelyne Bégin au 819-845-3250, vous

pouvez laisser un message.

Pensée : « Je ne veux pas arriver à la fin de

ma vie et constater que j’ai vécu seulement

sa longueur. Je veux avoir vécu sa largeur

aussi. » – Diane Ackerman

• Nos meilleurs vœux aux frères Chevaliers

qui célèbrent leur anniversaire du 5 au

11 octobre : Michel Dubreuil et Michel

Guillemette.

• Le souper de spaghetti organisé par la

Caisse populaire aura lieu le mardi 14

octobre, à partir de 17 h, à la salle des

Chevaliers de Colomb. Les dons et denrées

recueillis serviront à la confection des

paniers.

• Journée folklorique avec le Club Optimiste

le dimanche 12 octobre, à 13 h, à la salle des

Chevaliers.

• Initiation du 1er degré le 9 novembre,

dès 19 h, à la salle des Chevaliers de

Colomb. Pour inscription et information :

819 845-2686.

• Une journée portes ouvertes aura lieu

dans les locaux des Chevaliers de Colomb

le 25 octobre, à compter de 13 h 30. Ce

sera l’occasion de parler des activités

fraternelles et sociales ; des avantages offerts

aux membres et leurs familles et autres

sujets. Bienvenue aux conjointes. Pour

information : 819 845-2686.

• Les billets pour la loterie colombienne

sont disponibles au coût de 10 $. Une partie

de l’argent sera remise aux œuvres locales.

C’est pour une bonne cause.

• Le prochain souper mensuel des Chevaliers

de Colomb se tiendra le vendredi 17 octobre.

Au menu : tournedos de poulet. Le coût est de

17 $. Si le billet est payé avant le 15 octobre,

le coût est de 14 $. Pour information :

819 845-3822 ou 819 845-2686.

• Pensée : J’essaie de pardonner aux

personnes qui n’ont pas tenu leur parole à

mon égard. Le bonheur, c’est de toujours

s’attendre au meilleur.