Le Festival de l’auto ancienne de Richmond attend 6000 visiteurs
Par Ghislain Allard
Journaliste
Richmond — Pas moins de 6000 visiteurs sont attendus au Festival de l’auto ancienne de Richmond qui se déroulera au centre-ville les 10 et 11 août prochains.
En fait, les festivités sont prévues le samedi soir à partir de 17 h. D’ailleurs, la rue Principale sera fermée à la circulation à partir de ce moment. Puis, le lendemain, les visiteurs auront accès au site entre de 9 h à 16 h.
Le dimanche, les organisateurs attendent quelque 600 véhicules.
« Nous faisons des pieds et des mains pour placer tous ces véhicules. Ce n’est pas évident. Dès 6 h le matin, il y a des véhicules qui arrivent. À un moment donné, nous n’avons plus vraiment de place. Ce n’est pas une mince tâche », avoue François Séguin, porte-parole du comité organisateur.
Le samedi soir, un spectacle rétro est prévu au centre-ville. « Même si ce n’est pas la plus grosse journée, nous attendons environ 500 personnes au centre-ville », affirme M. Séguin.
Les participants proviennent d’un peu partout dans les Cantons-de-l’Est. « C’est un petit milieu ; tout le monde se connaît. Les gens viennent entre autres de Victoriaville, de Sherbrooke, de Granby, de Windsor et de Sherbrooke », de dire le porte-parole.
En fait, les organisateurs n’ont pas apporté de changement majeur à la tenue de cet événement. « Nous avons une formule gagnante ! Pourquoi le changer ? Ça fait plus de 15 ans que l’événement existe », soutient M. Séguin.
En plus des restaurants habituels, des food trucks seront en opération sur la rue Principale.
« Autant chez les exposants que chez les visiteurs, c’est un très bel événement. Le décor de la rue Principale est très accueillant. Quand c’est bondé de gens, c’est très particulier… Et ce n’est pas comme à certaines places une occasion d’abimer le terrain. Ici, tout se fait sur la rue Principale. Les exposants adorent venir à Richmond », mentionne-t-il.
Un orchestre sera présent le dimanche en après-midi.
« C’est excellent pour les commerces avoisinants », termine M. Séguin.
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