Texte de Ginette Provencher
Lettre ouverte
Non, mais, mon Dieu dans quel monde vivons non ?
Vous avez surement dû avoir entendu la nouvelle selon laquelle un homme avait fauché un piéton sur la 1re Avenue coin boulevard Oliver à Val-des-Sources.
Oui, un accident peut arriver à tous… Mais laisser le piéton sur la route pour mort sans lui porter assistance ç c’est écœurant. Comment pouvoir décemment, en toute conscience, sans remords… laisser un être humain ou un être vivant blessé sans aide aucune ? Honnêtement, pour moi, c’est simplement impensable !
Il paraît qu’on a retrouvé la personne responsable de ce geste ignoble. Rassurez-vous je ne crierai pas vengeance, mais je souhaite seulement que cette personne garde en souvenir le geste qu’elle a posé toute sa vie et que peut importe quel était son état physique ou mental à ce moment, qu’elle prenne enfin conscience du mal engendré par cela.
Pensez à la famille touchée, à l’état du blessé et aux conséquences pour lui qu’aura cet accident.
Il y a des êtres humains qui ont gravement perdu de vue toute lucidité face aux gestes qu’ils posent comme s’ils en étaient totalement détachés. Tout geste, qu’il soit bon ou mauvais implique un effet, s’il vous plait soyons en tout conscient ; cela peut changer le cours de votre vie et le cours de la vie de la personne victime ou touchée.
En beauté ou en cauchemars.
Il est difficile de prendre une telle nouvelle de façon détachée.
Je souhaite une justice divine pour le fautif et une convalescence douce, paisible pour Luc.
« Il faut accepter les déceptions passagères, mais conserver l’espoir pour l’éternité. » Matin Luther King
Tendresse.
Ginette Provencher
Val-des-Sources
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